Le karma, comme loi de cause à effet, est perçu un réservoir de culpabilité, non d'erreur. Car il n'y a pas d'erreur, juste de la culpabilité. Donc une perception dualiste de faits, de situations, jugées comme bien ou mal.
En ce sens, et de manière plus pragmatique, il convient de simplifier cela et de percevoir chaque situation comme l'occasion de perfectionner la justesse de son être, de repérer nos distensions face à l'unité, et de faire au mieux, même si le mieux est loin de la perfection... d'ailleurs, il convient de se demander : "Qu'est ce que la perfection ?"